Du point de vue plus vaste sur les richesses matérielles, j’adhère au fait que chacun doit apporter sa contribution à la société en partageant la richesse. Cela ne dit pas avec quelle technologie, ni avec quelles unités on représente cette richesse.
L’argent conventionnel dessert le processus de contribution et de solidarité sociales, du fait des effets pervers que nous lui connaissons (condensation liée à l’Effet Pareto, centralisation, rareté, opacité, propriétarisation, etc). Si nous voulons vraiment honorer nos contributions pour la collectivité, on devrait utiliser des technologies appropriées qui soutiennent le mutualisme plutôt que la concentration des pouvoirs. Nous disposons de telles technologies aujourd’hui.
Bientôt ces technologies prendront le relai, il s’agit d’une question de temps.